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3 juillet 2024.
Dans la chronique de Pascal Cagni pour la série « By invitation » de The Economist, il se penche sur les récentes élections françaises et leurs implications pour la compétitivité du pays aux yeux des investisseurs étrangers. Avec des partis politiques extrêmes qui gagnent du terrain et des murmures de « Frexit », le paysage politique français se trouve à un moment charnière. Toutefois, les solides réformes économiques menées par le gouvernement du président Macron et l’intégration au sein de l’UE constituent un filet de sécurité pour les investisseurs.
Certains investisseurs étrangers peuvent être consternés par l’incertitude politique actuelle, mais ils ne doivent pas être découragés. La France reste une destination de choix pour les investissements étrangers, avec des progrès impressionnants dans les domaines de la technologie, de la réindustrialisation et de l’entrepreneuriat. Les investisseurs peuvent être sûrs que la résilience de la France et son importance stratégique au sein de l’UE continueront à favoriser la croissance et l’innovation.
Bien que l’avenir immédiat comporte des risques politiques, le président français pourrait être jugé plus favorablement, avec le recul, pour avoir convoqué des élections anticipées. Il est tout à fait possible que l’agitation politique actuelle conduise à la création d’un bloc central qui, avec le bon leadership, pourrait rendre moins probable que les populistes prennent le contrôle du parlement et de la présidence dans trois ans.
Lire l’intégralité de l’article sur le site de The Economist (en anglais ; abonnement requis).
